Malgré le triple effet kiss-kool méthodiquement appliqué par l'industrie du logiciel (pédagogie, dénonciation, répression) pour réduire le taux de piratage dans les entreprises, la pratique reste encore forte dans de nombreux pays. Il atteint ainsi 37% en France.
Microsoft, premier éditeur visé par le piratage, reprend donc son bâton de pèlerin ou plutôt son chiffon rouge pour démontrer, étude à l'appui, que le téléchargement illégal de logiciels (qu'il s'agisse de produits professionnels ou de produits grand public téléchargés par des salariés) est dangereux et donc coûteux. Lire la suite de l'article...
Auteur : La rédaction de ZDNet.fr.