Il y aura donc bien un "choc de sécurité" imposé aux entreprises françaises dites sensibles ou stratégiques. Selon l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi), ce niveau de sécurité est aujourd'hui trop faible au regard des menaces et des nouveaux risques liés notamment à l'intrusion des terminaux mobiles personnels dans les entreprises (le fameux BYOD). Lire la suite de l'article...
Auteur : La rédaction de ZDNet.fr.