L'Istas, l'institut de recherche du syndicat espagnol Commissions ouvrières tire la sonnette d'alarme dans un récent rapport. De leur côté, des organisations européennes ont lancé fin mars la campagne "EDC Free-Stop hormone disrupting chemicals".
Tant l'Istas que les ONG demandent aux États et à l'UE de revoir leur approche qui repose sur le vieux principe de : "c'est la dose qui fait le poison. " Or, la recherche a découvert que les perturbateurs endocriniens peuvent avoir des effets néfastes à des doses très faibles, en particulier chez les plus jeunes.

L’Institut national pour la santé et la recherche médicale (Inserm, France) vient de publier une expertise collective alarmante sur les pesticides qui montrent que de nombreux perturbateurs sont utilisés dans les insecticides, les herbicides et les fongicides et mettent en danger la santé des travailleurs, de leur descendance et de la population même lorsqu’ils sont utilisés à faibles doses. Lire la suite de l'article...
Auteur : ETUI.