Ce dernier, tout aussi suspect, bénéficie cependant encore de la présomption d'innocence et surtout d'un bien plus grand anonymat.
Selon nos confrères de journaldelenvironnement.net, le bisphénol S (BPS), utilisé comme substitut au bisphénol A (BPA), est un perturbateur endocrinien, même à très faible dose. Lire la suite de l'article...
Auteur : Jean-Charles BATENBAUM, actualites-news-environnement.
Sur le même sujet : L’Anses publie son rapport d’expertise sur le Bisphénol A.