Les risques sécuritaires qu’encourent les entreprises à l’international en 2014 sont liés à plusieurs facteurs : contexte politique interne et régional, climat social, criminalité (délinquance, grande criminalité, enlèvements, trafics) et terrorisme. Le Groupe GEOS établit ainsi sa notation des risques-pays selon ces critères, évalués de 1 (faible) à 5 (très élevé). De l’appréciation de ces critères émerge une notation finale traduisant la situation sécuritaire générale du pays concerné (de 1 à 5), représentée dans cette carte.
Comme les années précédentes, GEOS porte une attention particulière aux risques liés aux activités de piraterie et de criminalité maritimes, pour souligner leurs distinction et évolutions majeures.

Elargissement de l’action de la secte islamiste nigériane Boko Haram au Cameroun, incidences du conflit somalien au Kenya, conséquences régionales des conflits au Nord-Mali, en République Centrafricaine, en Syrie, sécessionnisme dans le Caucase, mouvements rebelles en Asie du sud-est, présence des FARC au Venezuela ou encore explosion du trafic de drogue en Amérique latine : les rivalités régionales, ethniques, religieuses, criminelles, les velléités sécessionnistes, les activités des groupes terroristes sont autant de facteurs d’instabilité dont le champ d’incidence dépasse largement les frontières nationales.
C’est ce que GEOS choisit de mettre en avant en 2014 en représentant les zones d’instabilité majeure à l’échelle-monde. Le découpage territorial n’est en effet pas suffisant pour donner un éclairage précis et efficace de la situation sécuritaire dans le monde.
La finesse et la précision sont au cœur de l’analyse des risques établie par le Groupe GEOS dont la préoccupation majeure est de garantir la continuité d’activité de ses clients quelles que soient leurs zones d’opération dans le monde. En savoir plus...
Auteur : communiqué du Groupe GEOS.