La commission mise en place en septembre dernier, après le scandale Volkswagen, est chargée de mener des tests aléatoires sur une centaine de véhicules, appartenant à 12 marques. L’objectif ? Identifier des logiciels de fraude anti-pollution comme ceux utilisés par le constructeur allemand. Pourtant, Renault n’est pas accusé d’employer ces logiciels frauduleux. Mais ses mauvais résultats aux tests anti-pollution la semaine dernière ont créé un vent de panique alors que Ségolène Royal annonce ce matin le rappel de 15 000 véhicules. Novethic fait le point sur la situation. Lire la suite de l'article...
Auteur : Concepcion Alvarez, Novethic.Publié le
Classé dans la catégorie : Risques pour l'environnement
La marque au losange a été reçue lundi par la commission d’enquête de Ségolène Royal.