Par conséquent, ces temps de trajet devraient en principe entrer dans le décompte de la durée du travail, notamment pour l’application de la législation sur les heures supplémentaires (majoration, contingent annuel et contrepartie obligatoire en repos) et l’appréciation des durées maximales journalières et hebdomadaires de travail.
Pourtant, telle n’est pas la position actuelle du droit français ! Lire la suite de l'article...
Auteur : Jessie Moyal, La Revue, une publication du cabinet d'avocats SQUIRE PATTON BOGGS.