Depuis cette date, une rumeur est soigneusement entretenue par la FNSEA afin d’essayer de disculper les pesticides de synthèse, en cause dans cette affaire. Selon cette rumeur, reprise à tous les niveaux de l’organisation du local au national, c’est une pulvérisation de soufre par un viticulteur bio voisin qui aurait intoxiqué les élèves.
Cette rumeur insidieuse se retrouve aujourd’hui écrite dans un communiqué du 1° mars dernier de la FDSEA de Gironde, tentant de faire contre-feu aux révélations de l’émission Cash Investigation. Lire la suite de l'article...
Auteur : Générations Futures.